Et si le temps, le feu, le vent
Et si le temps fumant ne laissait qu’aux gens
Qu’un peu de soufre, du saoul, des cendres
Des bêtes empaillées et des potences de novembre
L’horizon glabre, les clans, les champs
Battent les plaines et les troubles du dedans
La chasse à cour annonce le levant
La bête est traquée, je rentre dans mes appartements
Je t’aimais tant mais tant même trop mais tard
Je t’aimais las, hélas c’est sans détour
Jamais j’humerai le jour du grand retour
Ainsi d’ l’amour je me pique à son dard
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